02 décembre 2011

1,2,3. Love story.



Loin de moi l'idée de renier tes origines, il se pourrait bien que tu (re)deviennes amoureux des miennes. En effet, je bassine mes potes depuis un petit mois avec une musique venue d'ailleurs, celle que tu ne remarques qu'une fois par décennie, celle que tu ne connaîtras jamais si tu passes à côté à l'instant T.
Pour simplifier les choses, on va dire que nous sommes à l'instant T. Maintenant. Tout de suite.
Logique.
Regarde ta Swatch couleur flashy que tu voulais tant il y a 2ans ou ta Casio G-Shock qui bip à toutes les heures et que tu es incapable de remettre à celle d'hiver.
Là n'est pas le problème. Il n'y en a pas à vrai dire, si ce n'est que je t'importune avec une mise en scène qui ne te concerne peut être absolument pas.
Ok, ok, je vais te filer les sons, mais promet moi que tu feras profiter au moins trois de tes potes ce soir en leur disant que c'est toi qui a trouvé le tuyau. On a tous le droit à son petit moment de gloire.

La meilleure façon de dire au revoir au dubstep et de préparer un accueil chaleureux au père Noël, ça lui changera de ton sapin plein de guirlandes ainsi que la fausse neige sur les carreaux.






Son EP est d'une fraîcheur perturbante, je dirai même indescriptible. Personnellement l'une des plus belle surprise de l'année. Un artiste à surveiller qui a de bonnes raisons de se réjouir de la vague new-dub-breakbeat prenant exponentiellement de l'ampleur sur le territoire.

 

ALIAT